Attention pour nos enfants aux boissons poisons du soda

Avant garde : cet article n'est pas destiné à alarmer les parents que nous sommes mais plutôt à transmettre la bonne information afin que chacun d'entres nous puissent réagir en fonction de ces propres situations personnelles, familiales ... dans l'intérêt de son ou ses enfant(s).

Thés glacés, cafés fantaisie et surtout boissons gazeuses sucrées sont liés à la progression rapide d'une pathologie ravageuse répondant au nom de stéatite hépatique non alcoolique plus connue sous la nom de la " maladie du soda ".

Ce qui rend cette pathologie dangereuse, dont les conséquences seront visibles à plus ou moins long terme, probablement à l'âge adulte de nos enfants, reste son coté indolore et sans symptômes physiques, pouvant mettre en garde le parent d'un éventuel problème de santé.

Nous aborderons plus bas les symptômes psychiques, pouvant alerter l'adulte d'un éventuel engrenage, sujet de cause du développement de cette pathologie.

Le mode opératoire de cette maladie est d'enrober le fois de graisse afin de provoquer une inflammation chronique.

Encore méconnue, les médecins peinent souvent à la diagnostiquer faces à des patients, il nous faut bien l'avouer, jurent de tous noms et de sur toutes les têtes, ne pas boire souvent de boissons sucrées avec ou sans gaz et jurent encore plus, sous des noms de divinités, ne pas boire une seule goutte d'alcool.

Pourtant, le " maladie du soda " touche entre 20 et 25 % de la population issue de société dite moderne, selon l'Inserm, et en priorité :

• Une jeunesse de plus en plus précoce (avant 10 ans)

• Une jeunesse victime d'obésité

• Une jeunesse souffrant de diabète de type 2

Une partie d'entre elle, devenue adulte, évoluera vers un cancer ou une cirrhose et la stéatite hépatique non alcoolique pourrait devenir, d'ici 2020, soit dans seulement 3 années, la première cause de greffe du foie, devant l'hépatique C.

D'après des chercheurs américains, quel paradoxe, la consommation d'un soda par jour augmente de 55 % le risque de la développer.

---

Préventions face à ce fléau des sociétés modernes :

• Éviter d'acheter ce type de boissons sucrées avec ou sans gaz

• Interdir sa consommation au delà de 16h00

• Surveiller l'enfant afin de percevoir une éventuelle carence comportementale de l'ordre " affective " et/ou " d'attachement "

• Communiquer naturellement sur le sujet, pendant les repas, les moments de détente et surtout pas lors de tensions qu'elles qu'en soient son origine.

• Parlez en à votre médecin de famille, il saura vous conseiller, vous orienter le cas échéant auprès de confrères spécialisés, de psychologues, d'éducateurs etc.

Risques en cas de non prise en charge préventive :

• Augmentation de la consommation de boissons " poisons" et ce, à toute heure du jour comme de nuit.

• Tensions, nervosités, angoisses à des fréquences de plus en plus rapprochées (cries, colères, insultes, pleures etc.).

• Relations de conflits de plus en plus fréquents envers l'adulte et principalement contre le(s) parent(s).

• Absentéisme scolaire et/ou baisses des résultats, retrait, isolement ...

Mais le plus important, réside dans l'évolution, de la dégradation, en lien avec une carence non prise en charge, qui contribuera a passer d'une addiction devenue insuffisante à d'autres addictions qui agissent de façon plus active (tabac, alcool, cannabis, conduites à risques ... tentative de sucide etc.).

Nouvelle Étape propose, un accompagnement éducatif ainsi, qu'un soutien parental, afin d'améliorer les relations entres les membres de la famille.

Il s'agit d'un suivi personnalisé et individuel au domicile de l'enfant avec son/ou ses représentant(s) légal(s) sous la forme d'un échange adapté à tous et pour tous dont la transmission d'information, de technique(s) éducative(s) visent à l'amélioration du quotidien.

Je vous invite à découvrir le site internet de Nouvelle Étape afin que vous puissiez découvrir le contenu prestataire du personnel éducatif au service de la famille qu'elle que soit son origine, sa culture, son degré social ...

Chaque famille peut être victime un jour d'un dysfonctionnement relationnel entre ses membres, le plus important reste de l'accepter pour mieux y remédier.